La mobilité et les modes de déplacements constituent aujourd’hui des sujets transversaux et majeurs des politiques territoriales au regard des enjeux qui s’y rattachent que ce soit en matière d’accès à l’emploi, de lien social, de développement économique, de santé publique et de préservation de notre environnement (Réduction des émissions de gaz à effets de serre et autres polluants, préservation du cadre de vie…).

Au niveau national, à l’issue des «Assises nationales de la mobilité», une loi d’orientation des mobilités dite loi LOM a été promulguée le 24 décembre 2019 afin d’intégrer les enjeux environnementaux dans le cadre général des politiques de mobilités.

 

Pour nos territoires ruraux et vallonnés, l’usage de la voiture est aujourd’hui quasiment incontournable pour les déplacements du quotidien. Cependant, les enjeux environnementaux et les nuisances liés aux flux croissants de véhicules ont amené la CCLA à développer et accompagner un certain nombre de mesures et d’actions pour favoriser les changements de pratiques et de comportement.

Ces démarches ne sont qu’une première étape. La CCLA souhaite agir davantage en élaborant une stratégie qui doit être construite en tenant compte des attentes de la population et tous les liens, les services et les interactions qui peuvent être développés avec les territoires voisins.

Trois axes de réflexion principaux :

  • Le développement des transports en communs (Train, bus, covoiturage…)
  • Le développement de l’écomobilité qui désigne les modes de transport jugés moins impactants pour l’environnement et notamment en termes de contribution aux émissions de gaz à effet de serre (marche à pied, vélo, vélo électrique, voiture électrique…).
  • Favoriser l’intermodalité, c’est à dire combiner plusieurs modes de transport qui peuvent notamment associer déplacement doux (marche, vélo…) et transports collectifs (Train, bus).